Les trois jeunes prodiges se démarquent chez le Real Madrid. Endrick, Güler et Brahim, surnommés « EGB » prouvant qu’ils sont prêts à briller dès cette saison.

Au Real Madrid, alors que le trio de stars Vinicius, Mbappé et Rodrygo reste indétrônable, une nouvelle génération de talents émerge avec force : la « EGB » formée par Endrick, Güler et Brahim.

Lors du dernier match contre Valladolid, ces trois jeunes joueurs ont démontré qu’ils pouvaient non seulement rivaliser avec les meilleurs, mais aussi apporter une dynamique différente et rafraîchissante à l’équipe. Endrick, avec une précision redoutable, a marqué sur son premier tir officiel pour le club.

Arda Güler, déjà aimé des supporters, a montré qu’il pouvait remplacer Bellingham à la construction du jeu, tout en menaçant constamment les défenses adverses. Enfin, Brahim, loin de se laisser décourager par sa position en bas de la hiérarchie, a saisi l’occasion pour briller et rappeler à Ancelotti qu’il reste une option précieuse.

La pression de la relève au Real Madrid

Pour Carlo Ancelotti, la montée en puissance de ce trio représente un « problème béni ». Avec une défense qui reste fragile, l’entraîneur italien peut désormais compter sur un joyau offensif en pleine effervescence.

En laissant entendre, lors de sa dernière conférence de presse, que les titulaires doivent rester vigilants et prêts à céder leur place en cas de besoin, Ancelotti met en garde : la compétition interne sera féroce. Cette nouvelle génération de joueurs pousse fort derrière les stars établies, et il devient clair que personne n’est à l’abri d’une remise en question.

La « EGB » commence cette saison avec un message clair : pour s’imposer dans cette équipe, il faut exceller dès le départ. Les performances d’Endrick, Arda Güler et Brahim ne sont que le début d’une compétition interne qui pourrait définir le succès du Real Madrid cette saison. Tandis que les cadres du club sont prévenus, les jeunes loups continuent de démontrer que l’avenir du Real Madrid pourrait bien leur appartenir.

Aurélien Tchouaméni prend progressivement les commandes de l’entre jeu du Real Madrid, mais il lui reste encore à réduire l’écart avec le légendaire Toni Kroos. Une mission délicate mais prometteuse.Le Real Madrid entre dans une nouvelle ère au milieu de terrain, marquée par les ajustements nécessaires après une décennie dominée par Toni Kroos.

L’un des protagonistes de ce changement est Aurélien Tchouaméni, qui est déjà au centre de la scène madrilène. Si son jeu s’affirme petit à petit, il reste encore des défis à relever pour être à la hauteur de l’impact de Kroos, omniprésent lors de ses années au club. Bien que Tchouaméni soit avant tout connu pour son jeu défensif, son influence dans le jeu de préparation augmente de match en match. Selon AS, lors du dernier match contre Valladolid, le Français a enregistré 102 plaqués, dépassant ainsi ses apparitions contre l’Atalanta et Majorque.

Avec un taux de réussite de 95,6%, il se rapproche des standards de Kroos. Cependant, il doit encore développer sa capacité à changer le rythme du jeu avec de longues passes, ce qui était la force du milieu de terrain allemand.

Tchouaméni : entre progrès et attentesTchouaméni montre des signes prometteurs, mais est encore loin de maîtriser tous les aspects du rôle de Kroos. La saison dernière, il n’a lancé que 4,6 passes de touché par match, une statistique qu’il cherche maintenant à améliorer.

Le jeune Français est conscient de la route, mais son potentiel est indéniable.Avec l’aide de Fede Valverde, qui incarne l’héritier du numéro 8 de Kroos, le Real Madrid dispose d’un duo capable de reconstruire un milieu de terrain équilibré et efficace, même s’il a encore besoin de temps pour se solidifier.